Orgie et pommes de terre
Telle une intégration par partie dont on ne connaît pas la variable "u", je suis desarmée face à toi.
Un jour oui, quelques heures plus tard, en orbite autour de la terre, puis ... silence radio. Pourtant je reviens. Quand je suis loin tu ne me manques pas, mais dès que tu es a moins de 2km de moi je perds tout sens des réalités.
Alors que je parle pour deux, que je suis mal alaise en ta présence, qu'on a aucune conversation constructive, que je ne suis pas moi même quand je te regarde, je ne peux m'empécher de vouloir être à tes cotés.
Je ne suis ni possessive, ni complètement barrée. A croire que je n'ai aucun de tes critères de sélection. En espérant que ce soit ça. Néanmoins en jouant au pendu dans ma chambre avec toi, je n'avais pas l'impression de te rendre indifférente.
Blablabla, n'attend plus de nouvelles de ma part. Je n'en peux plus de courir derrière l'ombre d'une rock star blazée. Je ne suis pas la trace d'une de tes bières sur la table en bois de ton bar préféré.
